A bien y regarder, le cerveau n’a pas un oeil objectif. Devant un paysage, au milieu d’une scène de rue, il superpose des images sur différents plans, gomme certains détails, grossit ce qui l’intéresse, accentue les profondeurs ou, au contraire, les applatit, peut même supprimer des couleurs, selon son humeur, son envie, sa crainte, sa percepetion subjective.
L’oeil du cerveau
(série en cours)